Close

Léo et Rémi, 13 ans, sont amis depuis toujours. Jusqu’à ce qu’un événement impensable les sépare. Plein d’incompréhension, Léo aborde Sophie, la mère de Rémi. « Close » est un film sur l’amitié et la responsabilité…

Grand Prix au Festival de Cannes 2022
Film d’ouverture de la 49ème édition du Film Fest Gent 2022
En lice pour l’Oscar du long métrage international.

En 2018, le premier film de Lukas Dhont,  » Girl « , avait également été présenté en ouverture du Festival de Gand. Lukas Dhont devient ainsi le seul réalisateur qui aura présenté son premier et son deuxième film en ouverture du festival.
« Il s’agit d’un grand honneur pour le festival de pouvoir présenter cette œuvre délicate en ouverture. Le festival a pu suivre la carrière du jeune cinéaste de près, depuis ses courts métrages et son premier long, Girl, présenté en ouverture en 2018. Il montre ici à nouveau sa grande maîtrise dans la peinture des émotions humaines. Tout comme avec Girl, Lukas Dhont présente à nouveau, à l’aide d’un langage cinématographique puissant soutenu par la musique évocatrice de Valentin Hadjadj, des personnages plus vrais que nature interprétés par de jeunes acteurs qui crèvent l’écran. ‘Close’ nous a énormément émus et nous étions impatients de pouvoir le montrer au public belge. » (Wim De Witte, directeur de la programmation du Film Fest Gent)

Entretien avec Lukas Dhont
J’ai écrit plusieurs mots sur le papier : amitié, intimité, peur, masculinité… C’est à partir de là que Close est né. Le scénario a ensuite commencé à prendre forme grâce aux échanges avec Angelo Tijssens, (avec qui j’ai écrit Girl)… Lire la suite de l’interview ici

CinéDweller ★★★★ Frédéric Mignard – Une œuvre cohérente et forte dictée par la raison. Parmi les rayons de soleil de la sélection cannoise en 2022, on aime rappeler à l’esprit le lumineux Close. Lumineux malgré un sujet délicat, celui de la rupture dans une vie, de la disparition subite de l’être aimé, de la culpabilité qui ronge… Un paradoxe? Peut-être, mais c’est aussi celui des saisons que le réalisateur de Girl a choisi pour rythmer linéairement cette chronique de l’adolescence. La nature pacifiée par l’homme passe par la froideur de l’hiver, dans une région de Belgique où la culture des fleurs donne du cachet aux images. Un cachet esthétique, métaphorique forcément un peu facile, mais aussi autobiographique pour le cinéaste qui a bien connu cet environnement floral, ponctuation essentielle à cette histoire de jeune pousse… Lire la suite